le blog de la grande marie

Et si la normalité, c'était justement de n'être pas dans la norme. Celle de la base, pas vouloir ressembler au voisin. Etre plus grand, plus gros, plus con (aussi) ou plus intelligent .........

J'en passe et des meilleurs. Je lis sans arrêt des blogs de gens ki veulent se fondre dans la masse. Et si ce ki faisait l'humanité, c justement la différence. Pas évident de vivre et d'accepter d'avoir un truc en plus ou en moins. Mais si c'était ce truc ki faisait notre originalité. Si les cons, au lieu de regarder les gens formatés tous sur le même moule, s'extasiaient enfin sur la DIFFERENCE.

Si la beauté, l'attrait de l'autre venait de cette différence alors que souvent on  ne voit que rejet ou dénigrement.

Et si ma cop Gael, se voyait comme un être à part entière, avec ses cotés attrayant et ceux chiant, ben wé kom tout un chacun ...............

lundi soir, ça y é un jour de passé, ça rapproche du we. J m moyen les lundi, début de semaine, remise en route de la machine aprés 2 gd jour de flemme. Pi revoir la tête de mon boss, dés 7h45 du mat le lundi, c cauchemardesque. G l'impression d'une redescente sur terre à vitesse gd V.

L'est sympa mon boss, mais c un boss. Autoritaire tendance gonflant, sur de lui, fier de posséder le levier du commandement. C vrai kon peut faire la même description d'un mari. Suis en train de m'en rendre compte. L'intéret c q mon boss, c pas moi ki lui lave ses chaussettes.

Heureusement q g la technique pour faire croire q je suis tjrs super oqp. J'étale des papiers partout sur mon bureau, je prends mon air exténué. En principe, il fait pas la différence entre glandage réactif et vrai boulot.

Dur métier q le mien. Faire croire q je tape des factures alors q je dial sur msn !!!!!

Tt ça pour dire q le lundi, j'essaye de me la couler douce un max, pour ne pas retomber trop vite dans le train train du taf.

Pk parfois, aimer et plus difficile q de ne pas être aimé. C vrai, ça demande une vrai préparation . Rien ko niveau épilation, rasage, dépoilisation koi. Faut tjrs être impécable, jamais rien ki dépasse. Alors q tt seule, ressembler de temps en temps à un ptt hérisson, n'é génant q pour le reflet du miroir. Autre aspect, l'habillement. Tjrs nickel. Extérieurement bien sur, mais aussi les dessous. Fini le vieux soutif où on se sent si bien, la culotte gd paquebot, bonjour le string en dentelle. Sùr q c plus sexy, j'en conviens mais de temps en temps kan on reste à la maison c sympa. Bref, l'amour c du boulot à plein temps. Mais tt compte fait, je veux bien signer pour ce travail de forçat jusqu'à la fin de mes jours pcq être aimée c kan même bon ..............

pcq on a pas tjrs un truc interressant à dire

pcq des fois les emmerdes nous submergent

pcq en se pesant, on se rend compte kon a encore perdu du poids

pcq on se dit q l'anorexie nous guette au coin du bois

pcq on a pas tjrs envie de parler

pcq y a des jours où on veut fuir

pcq on voudrait dire des trucs importants, mais q qq chose nous en empèche

pcq, pcq, pcq ..............

A tt une foule de pk, réponds tjrs un pcq . Mais à tjrs vouloir trouver des réponses à tt, on passe à coté de l'essentiel.

Pk je t'm : pcq ................

Eh oui, finallement, dans tt chose malheur é bon. Y a pas une heure, gt au 36 ème dessous et maintenant c bcp mieux.

A ne pas se voir on se parle, et à se parler on se dit des choses plus facilement q les yeux dans les yeux. Du style, je t'm. Kel bonheur de lire ses mots là pour la première fois, q cette nouvelle relation devient épanouissante. Fini les mauvais moments, oubliés, balayés, je me fous du passé ( merci mme piaf).

Aujourd'hui, g 17 ans et l'avenir a conquérir. C un sentiment merveilleux, ça me prend aux tripes. L'euphorie é totale, suis sur mon nuage et j'espère pas en descendre d'un moment. En fait c beau la vie, il suffit d'un rien. Aprés 17 ans de galères, je revis, c'ét pas facile, pas gagné d'avance. Fallait vraiment y croire !!!!!!!

J'aperçois enfin le bon versant de la vie, celui q voient ceux ki sont heureux.

il é parti ce matin à 3h, et déjà il me manque. Parti juste pour le boulot, je précise. J'entrevois une semaine interminable.

Alors q hier, je nous trouvais trop collés l'un à l'autre, q je n'av pas grand chose à lui dire, ce soir c'est une foultitude de mots q j'aimerais partager avec lui. En ce moment, me viennent à l'esprit dix mille choses à lui raconter, certainement des banalités, mais au moins il serait en face de moi.

Il me manque, c con !!!!!!!

Sa voix, ses mains, sa bouche me manquent.

Mais q celle ou celui ki n'a jamais désiré être dans l'instant auprés de l'être cher, même s'il a dit le contraire 25 s plus tôt, me jette la première p...., non kan même pas, envoyez des trucs plus sympas.

un jour, c'ét l'été 90, sur un plage, t'as pris ton élan et tu as fais 3 ptt pas avant de retomber sur ton ti derrière. Ce jour là, g compris q plus rien ne serait pareil, q tu m'échappais déjà. T'av pas un an, mais tu venais de gagner une partie de ton indépendance.

Aujourd'hui, le temps a passé, tjrs trop vite, et tu auras bientot 17 ans. T'es tjrs aussi volubile, pleine de peps et malheureusement pour moi, encore plus indépendante.

Parfois je hais celui pour ki tes yeux brillent, je ne suis plus le centre de ta vie. Je savais q ça arriverait mais pas si vite. Je pensais pouvoir encore te garder juste pour moi, encore un ti peu. Mais non, t'as découvert l'amour, dans les bras d'un ptt con, et en plus tu m'en parles. Tu dis combien t'es heureuse avec cet affreux ki te vole, tu me racontes ta vie et qq part, je suis jalouse.

Oh non, je ne suis pas malheureuse, enfin juste de temps en temps, je savais q ça arriverait, q c'ét la suite logique, q tu n'es sortie de moi q pour t'envoler à ton tour. Promets moi seulement de ne pas t'envoler trop loin, q je puisse au moins voir ton ombre et sentir ton contact qd tu viendras te poser à coté de moi.

Un dernier mot, je t'm

eh oui, entre deux blogs romantiques, enfin peut être, un ptt page foot. Autour de moi, figurez vous q des germanophiles. Moi je serais plutot du style germanophobe, en foot, cause certain mauvais souvenirs, du style envol de gardien dans la tête de Battiston. Et oui, j'en suis encore là !!!!!!

Donc mardi soir, j'ét en minorité, pour ne pas dire seule à soutenir la squadra. Je l'é dit, les italiens, c les meilleurs. Je c, j'entends déjà les grincements de dents, les accusations de tricherie ki pleuvent sur la tête des transalpins.

Mais kel jeu, kelle technique, kelle équipe. A tel point q cette finale sera pour moi un crève coeur. Bien sur, j'm la france avant tt, mais l'italie, c un peu ma seconde patrie.

En épilogue : allez zizou mais forza italia qd même.

toi, ki ne me touche qu'avec les yeux, k'attends tu pour poser tes mains sur moi. Maints si sont risqués et j'av trouvé ça agréable. Qc ki manque ou pas ? Timidité .......

Pourtant, moi je suis là, espérant tjrs le geste, tu sais, celui ki fait naitre le plaisir, d'abord tt doucement.

Je me dis à chaque rencontre q ma peau va trouver la tienne, mais las, pas de contact.

Me lasserais-je de cette situation, ki je dois l'avouer commence à peser ? Toi seul à la réponse. Réponse q j'aimerai bien connaitre, avant q l'ennui ne me gagne, et q les questions ne deviennent un obstacle.

L'attente

kil m'appelle, de le voir, de toucher ses mains, de poser mes lèvres sur les siennes.

L'attente

de sentir ses mains sur ma peau, de sentir sa peau contre la mienne, sa chaleur sur moi.

L'attente

de ses caresses, de ses baisers de plus en plus précis, de sa langue fouillant, léchant, titillant.

L'attente

de ces moments rares de communion intime, de ce mélange de corps, de ce doux régal, de ce plaisir intense.

L'attente

tout simplement d'un mot d'amour.